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Le Mois du film documentaire se poursuit avec éclectisme. Deux œuvres qui affichent humanisme et environnement. Zoom avant. |
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De Brassens à Plastic Planet
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Les projections seront suivies d'une rencontre le mardi 22 et d'un débat le 29 novembre.
Mardi 22 Novembre : Le Regard de Georges Brassens de Sandrine Dumarais (2011)
On connaît tous « le » Georges Brassens, chanteur, l’homme à la pipe et à la guitare… Mais qui connaît l’homme ? Cet être pudique qui se dissimule derrière ses chansons ?
Les films amateurs qu’il a tournés dans les années 50, soulignent qu’il est difficile de dissocier sa vie de son œuvre. « C’est l’homme le plus mystérieux, le plus pudique que j’ai jamais rencontré » confie Juliette Gréco.
Ces archives personnelles constituent un petit trésor, un concentré de vie on l’on croise ses parents, « la Jeanne », Pupchen, les copains… Des images qui révèlent un homme méconnu, dans l’entre deux de la vie de Brassens : entre un début de reconnaissance et un succès qui va vite le dépasser.
Projection suivie d’une rencontre avec Didier Agid, auteur d’une biographie de Georges Brassens.
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Mardi 29 Novembre : Plastic Planet de Werner Boote ( 2011)
« Nous sommes les enfants de l’âge du plastique ». Plastic Planet montre combien le plastique est partout présent autour de nous, voire en nous… Car la question cruciale du film est bien là : le plastique est-il dangereux pour notre santé ?
« Le plastique est dangereux car insidieux ». Les témoignages de scientifiques semblent édifiants, ceux des industriels forcément plus tempérés mais la fabrication du plastique reste Top Secret…
Mieux vaut d’ailleurs parler des plastiques au pluriel car là est fondamentalement le nœud de la suspicion: la qualité et le nombre de composants.
Les risques évoqués? Cancers, allergies, problèmes endocriniens… La commissaire pour l’environnement à la Commission Européenne souligne qu’en 10 ans, seules 11 substances sur 100000 ont été vérifiées concernant les risques potentiels de dangerosité…
Projection suivie d'un débat animé par l'Antenne nature de la MJC qui prend tout son sens dans le cadre de cette semaine aussi placée sous l'estamplille de l'opération nationale"Réduisons nos déchets".
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