Lady Arlette est une Dame peu ordinaire… « Avant j’étais Madame, mais ça, c’était avant … Maintenant, « Je suis Diva, à voix parfois, et à vapeur, ça va de soi » ». Et on trouve chez elle une Grestch sur le paillasson, des prises électriques dans le désert, Angus Young & Sonic Youth dans la baignoire, des portraits Thiéfaine sur la cheminée, du rock dans la dentelle, une medium dans le garage, de la poésie entre deux larsens, Elvis et Brigitte Fontaine dans les escaliers, et des Doc Martens roses sur le capot d’une belle américaine.

Ainsi, deux ans après « Je suis Madame », Lady Arlette offre avec « Je suis Diva » un album plus rock que dentelle, un roman noir en docs roses …
Quelque chose à savourer comme «Un cocktail de riffs garage et de mélodies mélos délicates. La lady fait un retour fracassant avec ses bad boys et un album où elle se vit diva, rêve d’opéra, de poésie, de tueurs à gages et d’Elvis… Les doigts dans la prise, la tête dans les étoiles, elle électrise, et livre le meilleur de ses idées noires et de sa fantaisie déjantée.» ( Le Trianon Transatlantique).
Lady Arlette ? «Une artiste époustouflante. Il y a de la magie dans cet album.» (La Murmure), «Une attirante force électrique. Une folie musicale qui révèle sa créatrice. Une folie comme un délice.» (Rouen Mag)