Un événement unique en son genre (envergure régionale) qui offre un lieu privilégié pour « un arrêt sur images » et devenir « spect’acteur » .

« l’essentiel est que vous les spectateurs vous vous appropriez le film, ayez envie de le partager et d’aller par vous-mêmes plus loin » Mélanie Laurent, lors d’une projection de son documentaire Demain (co-réalisé avec Cyril Dion ; 1 million de spectateurs, César 2016 du meilleur doc.)
Cette petite phrase reflète tout le sens du Festival Génération Durable créé par la MJC
Et plus particulièrement de cette 7ème édition où les thématiques de transmission, d’enthousiasme liées aux initiatives qui s’épanouissent un peu partout. Leur point commun : valoriser l’échelle humaine, la notion de proximité, renforçant ainsi la conviction que chacun peut devenir acteur localement, selon ses moyens, le contexte dans lequel il vit. C’est avant tout notre mode de vie qui devient moteur de la dynamique.
Plusieurs films de notre festival 2016 s’appuient sur cette interrogation clé : « quel avenir pour nos enfants Demain », comme la pose Mélanie Laurent en préambule, ou encore « qu’est ce que je vais leur raconter à mes enfants ? » qui génère le besoin d’un Nouveau Monde filmé par Yann Richert (road-movie tourné sur 4 ans, présenté au festival en avant-première).
La notion de la transmission, liée au temps qui passe, associée à celle de l’urgence d’apporter des réponses à nos préoccupations, constitue un autre fil conducteur perceptible dans bon nombre des films de notre sélection, dont l'emblématique "Le potager de mon grand-père" de Martin Esposito.
C’est une prise de conscience d’urgence non pas anxiogène mais positive, constructive, créative.
et qui nous donnent envie de construire un monde plus durable pour nous et les générations à venir.