présentation des groupes en quelques notes…
232K est avant tout une longue histoire d'amitié, née au collège. De nombreux projets artistiques en collaborations l’inévitable survient… la formation d’un groupe de rap. Mais surtout le faire à leur manière : « loin des carcans, nous souhaitons creuser une autre voie moins explorée, plus centrée sur la simplicité de la vie, sur la musicalité des textes et des instrumentales, sur le ressenti de types plus ou moins à l'aise dans leur époque». 232K, ce sont deux personnalités complémentaires qui s'expriment.
La rencontre avec Damien Tuffal, compositeur de la plupart des sons du groupe, a été capitale. Comme celle de Cole Egram, leur DJ pour le live. Plus d'un an d'écriture et de recherche artistique ont abouti à un EP suivi d’un premier album.
Daisy, chanteuse aux influences soul-jazz et Léo, musicien multi-instrumentiste, osent l’épure du duo DAISY pour creuser les sillons singuliers d’un répertoire pop acoustique électro tout en finesse.
Elle pose sa voix soyeuse sur des textes sensibles, en anglais et parfois en français, portée par les accompagnements de Léo, des arrangements élégants et des impacts rythmiques accrocheurs. Entre force et fragilité, élans du coeur et pudeur des sentiments, DAISY enveloppe de ses mélodies envoûtantes. Près de six ans après leur rencontre, le printemps 2016 annonce l’éclosion d’un nouveau bouquet musical…
Makeshift Rosie ou comment un solo est devenu trio… C’est en effet d’abord le projet de Leona, guitariste et compositrice. Bercée dans le britpop et indiedes années 90 d’Angleterre, où elle a grandi, Leona abandonne le projet solo et part en quête d’un son plus puissant et vivant.
Accompagnée de ses mannequins, son batteur Patrice issu d’un groupe de gospel, et Stéphane, évoluant dans un milieu de rock et métal, le trio travaille sur des morceaux divers et variés depuis l’automne produisant une pop anglaise énergique vacillant entre délicatesse et simplicité, puissance et complexité.
Wolzovitch , c’est la rencontre de deux musiciens. L’un enregistre des chansons guitare-voix… dans sa salle de bain, l’autre agrémente le tout de beats assassins et d’une basse que ne renierait pas Simon Gallup (The cure). Le tout donne une Electro-pop inspirée, sorte de rock urbain aux textes en français qui évoquent le temps qui passe, l’amour, la paternité. Bref, la vie quoi !A situer entre Polnareff et les Kills, ou encore entre Miossec et Ratatat.